在房间里生下了孩子的妻子，筋疲力尽的享受着孩子诞生的喜悦，这时晚到的丈夫破门而入…… 　　她每天都被婴儿的啼哭声所困扰，并试图用侵入大脑的噪音般的试听图像来吃掉观众的心。 　　妻子带来了欢喜，疯狂与悲剧，甚至可能让人感到解脱......

在面对压迫性政权时无能为力，一对年轻夫妻选择离开家园——一次逃亡却演变成一场超现实的噩梦。

在面对压迫性政权时无能为力，一对年轻夫妻选择离开家园——一次逃亡却演变成一场超现实的噩梦。

音乐教师Christine Radcliffe原以为 Karel Novak 在战争中被杀害，她是如此的爱他，一直坚持与他携手共老。可是当Karel 再次出现的时候，等来的却是来自他爱人的一颗子弹..

1960年，中国处于大饥荒时代，生活在贫穷农村的父女俩相依为命。在那悲苦的环境下生存，每人所作出的决择都带来不同的结果，就正如若鸡不啼的话就不会死。但偏偏鸡啼是本性，人也一样会以自己的本性作出决择，哪怕后果并不是他们想要的。

老人每天冒着大雪带着鱼缸出门，垂钓放生，放生垂钓。回家后，喝一碗冒着热气的粥，吃几个土豆，然后对着墙壁上亡妻年轻时的照片发呆。睡前帮亡妻的枕头被褥铺好，躺下来翻来覆去睡不着。有一天，老人在风雪路上救了一只奄奄一息的小鸟，小鸟从此不走，吱吱喳喳绕在他身边飞，成为老人的玩伴。天寒地冻，小鸟饥饿，老人杀了鱼喂小鸟。不知从哪里来了一个小孩，一直想抓老人的小鸟玩耍。在接触下来，小孩渐渐成为老人的精神依靠，老人又烤了小鸟给小孩吃。最后，小孩因为老人而罹难，老人最终卧床病逝，化成一只鸟飞向大雪山 。

老人每天冒着大雪带着鱼缸出门，垂钓放生，放生垂钓。回家后，喝一碗冒着热气的粥，吃几个土豆，然后对着墙壁上亡妻年轻时的照片发呆。睡前帮亡妻的枕头被褥铺好，躺下来翻来覆去睡不着。有一天，老人在风雪路上救了一只奄奄一息的小鸟，小鸟从此不走，吱吱喳喳绕在他身边飞，成为老人的玩伴。天寒地冻，小鸟饥饿，老人杀了鱼喂小鸟。不知从哪里来了一个小孩，一直想抓老人的小鸟玩耍。在接触下来，小孩渐渐成为老人的精神依靠，老人又烤了小鸟给小孩吃。最后，小孩因为老人而罹难，老人最终卧床病逝，化成一只鸟飞向大雪山 。

Synopsis: 　　Julien et son preneur de son, Michel, tournent à Bruges un documentaire de commande. Julien rêve au film qu'il pourrait tourner dans cette ville mystérieuse: une adaptation de Shakespeare ou de Musset. Le rejoint bientôt Sophie, sa femme, ancienne comédienne, qui souffre de la distance que Julien semble mettre dans leurs rapports. Bientôt, à une exposition de peinture, elle rencontre un artiste qu'elle voit sous les traits de Julien et qui l'invite à venir visiter Florence. Elle confie à Michel ses tourments. Julien, de son côté, vient d'accepter la proposition de son producteur: réaliser une "histoire" avec des "personnages" et, pourquoi pas, des "vedettes"... Alors qu'elle semblait décidée à suivre l'inconnu, Sophie se jette dans les bras de Julien. Le metteur en scène qui tourne un film intitulé "L'hiver" demande une nouvelle prise. Pour la seconde fois, Sophie se jette dans les bras de Julien. Le peintre inconnu s'en va... 　　© Fiches du Cinéma 　　“One could spend forever unraveling this endless net, so tightly woven with signs and echoes, which becomes richer with every viewing. Hanoun’s formal investigation of the fragment and the (almost subliminal) flash frame, of very slightly altered variations and repetitions, which he applies to situation as much as to dialogue (often repeated, either within the same shot or from a different angle) reveals something of the interiority of film, of its creator’s unconscious, which becomes that of his characters. This structural resemblance to a Russian nesting doll should not confuse; it’s rather the contrary of this detachment with which the film ends. The more Hanoun compresses his dreams of dreams within dreams (films), the closer he gets to intimacy.” 　　-Emeric de Lastens (Re:Voir)